Dans cet article, le psychanalyste américain Jonathan Shedler critique l'utilisation qui est faite des données probantes dans la champ de la santé mentale pour disqualifier l’approche psychodynamique. Il démontre aussi comment les tenants des données probantes ont exagéré leurs résultats au détriment de la rigueur scientifique et du véritable sens de ce mot à l’origine.